22 mai 2009
Avis aux ventres délaissés*
Le chien avait beau tirer sur sa laisse Son maître ne voulait pas suivre Il pataugeait dans les flaques d’eau Il piétinait à qui mieux mieux le soleil C’était toujours à recommencer Le chien, lui, commençait à avoir faim Il aurait bien aimé dormir, sinon...